Journal officiel du Sénégal
Arrêté ministériel n°10301 en date du 12 Juillet 2016 instituant une Unité de coordination du Projet de la stabilisation de la brèche de SAINT-LOUIS
Art. premier — Création
Il est créé une Unité de coordination du Projet de stabilisation de la brèche de SAINT-LOUIS.
Ladite unité est instituée au niveau du Comité de pilotage sur la stabilisation de la brèche de SAINT-LOUIS.
Art. 2 — Composition L'unité de coordination est composée :
de l'Agence nationale des Affaires maritimes (ANAM) ;
de la Direction de l'Environnement et des Etablissements classés (DEEC) ;
du représentant du Ministère de l'Hydraulique et de l'Assainissement ;
de l'Agence de Développement municipal (ADM) ;
de la Direction de la Coopération économique et financière (DCEF) ;
du Département de Géographie de l'Université GASTON BERGER de SAINT-LOUIS ;
de l'Organisation pour la mise en Valeur du fleuve Sénégal (OMVS) ;
du Centre de Suivi écologique (CSE) ;
du Centre Expérimental de Recherches et d'Etudes pour l'Equipement (CEREEQ) ;
de l'Agence nationale et l'Aviation civile et de la Météorologie (ANACIM) ;
du Centre de Recherche océanographique de DAKAR- THIAROYE (CRODT) ;
de la Commune de SAINT-LOUIS ;
et de la Commune de NDIEBENE GANDIOLE.
Art. 3 — Présidence
La présidence de l'Unité de coordination est assurée par le Directeur général de l'Agence nationale des Affaires maritimes (ANAM).
L'ANAM assure les fonctions de Chef de projet. Ce dernier est responsable du patrimoine matériel, intellectuel et financier mis à disposition pour le développement des activités liées à la prise en charge des travaux sur la stabilisation de la brèche.
Art. 4 — Missions
L'Unité a, notamment, pour missions :
de mettre en place un cadre de documentation unique de l'ensemble des études en cours ou en perspective sur la brèche et ses dépendances immédiates, terrestres et aquatiques, en vue des synergies nécessaires à l'application des solutions techniques pertinentes ;
de gérer les financements mis à disposition pour la réalisation de ses missions;
de réaliser les travaux contribuant à court, moyen et long termes à la gestion intégrée de la brèche ;
d'assurer le suivi de l'harmonisation des actions sectorielles visant la maîtrise par la stabilisation ou tout autre procédé retenu pour encadrer l'évolution de la brèche.
Pour le lire inscrivez-vous gratuitement à notre offre numérique sans engagement